Session réalisée le 14/10/2015
Viewer : A.G
Moniteur : F.B
A.G. : La première photo que tu m’as présentée, j’aurai dit un plan, tu vois. Toutes ces lignes me font penser à un plan.
F.B. : C’est une pierre gravée argileuse de quelques centimètres carrés. L’autre photo est un croquis, qui fait apparaître la tête d’un homme, réalisé à…
A.G. : Je t’aurai dit, j’ai le mot plan, ou carte, en fait. Alors même s’il y a des visages ou quoi, malgré que ça ressemble à un gros fouillis tout ça, je t’aurai dit directement le mot plan. C’est ce qui m’est venu tout à l’heure. En voyant la photo, je t’aurai dit plan. Je vais voir si je peux avoir d’autres informations. Plan, direction. Alors oui, j’ai l’impression qu’il y a eu des plans un peu bizarres, mais ça pourrait aussi représenter le relief d’un endroit.
F.B. : Ok.
A.G. : Alors là, je vais me concentrer sur la photo proprement dite. Sud-ouest. Moi j’ai une direction, je ne sais pas pourquoi. J’ai sud et ouest. Sud-ouest, par rapport à… Peut-être pas par rapport à l’endroit, mais par rapport à quelque chose qui est caché, par rapport à ce descriptif, ce plan, le plan d’une région. On me parle du sud-ouest.
F.B. : Tu penses donc qu’à un moment donné, le graveur a fait des traits qui représentent une orientation, une…
A.G. : Oui. Je pense à quelque chose qui est mentionné. Pour moi, j’aurai dit que c’est comme tu dis, le visage d’un homme, mais j’aurai dit aussi que sur une tablette, c’est un plan. J’aurai dit ça comme ça…
F.B. : La deuxième photo que tu as vu, c’est le croquis d’une personne, qui met en valeur les traits qui personnalisent ce personnage.
A.G. : D’accord. Alors ce que j’ai par rapport à cet homme, c’est un peu comme un guérisseur, un docteur, quelque chose comme ça. Un mot qui ressemble à docteur. En ouvrant le fichier contenant l’image, le mot qui est passé instantanément est docteur. Alors on peut s’imaginer sur la plaque, d’accord, ou alors qu’il était un guérisseur. J’ai l’impression que c’est un peu comme si ça pouvait aussi indiquer un tombeau. Ce personnage-là est important à cette époque, sûrement par rapport à un tombeau le concernant. J’ai l’impression de voir beaucoup de monde venir le voir durant sa vie.
F.B. : Ils viennent le voir pour quelle raison ?
A.G. : Sa particularité par rapport aux soins, forcément. Je pense qu’on peut dire qu’il est un peu comme un guide. Un guide, quelqu’un, un personnage qui… On me montre la campagne, la forêt, quelqu’un qui est implanté à la campagne. C’est quand même un lieu reculé. Guide, docteur, quelqu’un d’importance, ça revient souvent.
F.B. : Est-ce que par rapport au lieu, tu peux me décrire davantage cette forêt que tu perçois ?
A.G. : Pour l’instant, on me montre quelque chose de classique, rien d’extraordinaire. J’essaie de voir s’il y a quelque chose quand même. J’aurai dit forêt, un peu de relief, rien d’extraordinaire, c’est un peu partout comme ça. Quelque chose qui détermine la chose. Il y a quand même quelque chose de religieux, j’aurai dit quelque chose d’important, d’un monument qui était implanté pas loin, religieux. Je ne sais pas si c’est lié au christianisme, un endroit, ce n’est pas le cliché de la cathédrale, de l’église, mais beaucoup plus ancien. Je ne sais pas si c’est quelque chose qui touche à l’environnement, si ça à voir avec le bâtiment, un environnement ou une époque, je ne sais pas. Quelque chose en lien avec le Moyen Âge. Forêt, il n’y a rien de spécial, je ne vois pas plus. Forêt, bâtiment, j’aurai dit du granit. Alors je ne sais pas si c’est un bâtiment important, je vois de la pierre qui est grise, un peu comme le granit.
F.B. : Ce que tu me dis là, c’est plutôt par rapport à la notion de Moyen Âge, on est bien d’accord ou pas ?
A.G. : J’avais la notion de Moyen Âge, après, je ne sais pas pour la relation de cause à effet.
F.B. : Maintenant, peux-tu te centrer sur ce personnage et le fixer, l’observer ? De m’en dire plus sur lui, ses vêtements, ou même intérieurement, sa manière de penser, etc.
A.G. : Oui. Il a quand même un don. Don. J’aurai dit aussi tunique, quelque chose de simple au niveau de la tunique. Comme s’il portait une parka, comme s’il était habillé comme un moine, un habit d’une seule enveloppe, avec une forme de capuche, une grande robe quelque part. Il a des dons, on me parle de don. Je ne sais pas s’il se déplaçait, mais il y a un lien avec l’Italie. En le regardant, je pense à l’Italie. Toujours ce mot Moyen Âge qui revient, j’espère que ce n’est pas un lien avec la renaissance. En parlant, il y aurait des écrits de sa part. Des écrits, des écrits importants suite à certaines recherches qu’il a entreprises.
F.B. : Et ces écrits, ils existeraient sous quelle forme ?
A.G. : Sur format papier ou sur un parchemin. On me montre l’image d’un parchemin, une vieille écriture. Sous quelle forme ? Apparemment, il y en aurait déjà un parchemin qui a été retrouvé, ou qui serait déjà… Les gens seraient au courant. Personnage au nom composé, du moins son prénom.
F.B. : Essaie de revenir vraiment au moment de sa vie quotidienne, je veux parler du personnage dessiné sur la tablette. Essaie de faire le vide en toi et de se concentrer sur lui.
A.G. : C’est quelqu’un qui est isolé, qui est tout seul. Je pense que c’est quelqu’un qui était complètement reclus. Oui, reclus, on peut dire ça comme ça. Un peu comme un ermite. Je le vois seul. De temps en temps, il reçoit du monde, par rapport à ses trouvailles, mais il est isolé par rapport à ces recherches personnelles.
F.B. : Ok. En tant que docteur, il fait donc des recherches, mais de quels types ?
A.G. : Pas forcément des recherches. J’ai l’impression qu’il y a des concoctions de plantes, recherches au niveau phytothérapie, comme ça, mais je pense que c’est un personnage aussi qui s’approche aussi du côté de, je pense qu’il avait ce côté médiumnique aussi. Un côté médiumnique dans son approche. Je n’en sais pas plus.
F.B. : Est-ce que tu arrives à te caler sur lui à un moment particulier, comme dans un live ?
A.G. : Un moment où on pourrait se caler par rapport à lui. Je ne vois pas de date. Apparemment, c’est quelqu’un qui a fait avancer l’histoire. Ça ne veut trop rien dire.
F.B. : Si si, exprime ce qui te vient. Ne réfléchis pas.
A.G. : Il a fait avancer les choses. Je n’ai pas de date, mais néanmoins, quand je dis ça, je vois les chiffres 1-5-00, je ne sais pas si ce n’est qu’un son, mais tu vois, 1-5-00. Je ne sais pas si c’est plus ou moins, mais c’est ce que j’ai. C’est quelqu’un qui était curieux de tout, parce qu’il y a quand même des approches. C’est quelqu’un qui regarde le ciel. J’ai l’impression qu’il regarde le ciel. Ce n’est pas un télescope, mais lui, il regarde le ciel. J’aurai dit voler. Il y a quelque chose comme ça où il regarde le ciel.
F.B. : Il scrute le ciel ?
A.G. : Il scrute le ciel.
F.B. : Il le fait quotidiennement ou de temps en temps ?
A.G. : J’ai l’impression qu’il le fait quotidiennement. Il est constamment en train de regarder le ciel.
F.B. : Et quel est son sentiment rapport au ciel ?
A.G. : Alors, j’aurai répondu, c’est la phrase que j’entends, « j’ai la découverte ». Oui, lui était sûr de sa découverte.
F.B. : Sa découverte serait liée au ciel qu’il observe très régulièrement. Tu peux m’en dire plus ?
A.G. : J’aurai dit par rapport à la position des étoiles. Position d’étoiles. Mais je n’en sais pas plus.
F.B. : Ok. Très bien. Sur la réalisation de la tablette, peux-tu te connecter à elle quand la personne a réalisé le dessin, la gravure. Qui est cette personne ?
A.G. : Moi dans la foulée, j’aurai dit que c’est la même personne. Celui qu’on voit dessiner sur le plan, c’est la même personne, parce que je suis toujours sur le même personnage, à la campagne, relief, les montagnes ne sont pas loin. J’ai l’impression que c’est lui qui mélange les données cachées dans ce plan, avec son portrait. J’aurai dit ça comme ça.
F.B. : D’accord. Un auto portrait, donc ?
A.G. : Un auto portrait: je le pense, oui. Hormis ça, j’aurai dit le personnage, le même type de personnage à ce moment-là, qui conçoit la chose. Je ne vois pas… Je n’ai pas d’autre vision de personnage.
F.B. : Ok. Je voudrais revenir par rapport aux personnes qui viennent voir cette personne, à cette époque-là. Est-ce que tu peux repartir avec ces personnes-là pour voir où ils habitent, comment ils vivent, bref, l’impression générale que tu peux avoir sur ces gens-là ?
A.G. : Apparemment, il y a des navigateurs qui viennent les voir. Navigateurs, ça sert à naviguer, navigateurs. Des gens qui partaient, j’aurai dit de vieux bateaux. On vient le consulter, des choses à faire. J’avais l’eau, des notions par rapport à des navigateurs.
F.B. : Ok. La mer ou l’océan n’est pas loin ?
A.G. : Pas forcément. Il y a quand même un 2-0-0 qui m’apparaît. Alors je ne sais pas s’il y a deux cents kilomètres, mais il y a 2-0-0 entre le lieu où il serait implanté et la mer. Il n’est pas forcément au bord de la mer, il habite plus en relief, en montagne, et c’est des gens qui viennent comme ça, d’un peu partout. A la limite, ce sont des gens bien renseignés quand même parce qu’ils font pas mal de kilomètres pour venir le voir. Une navigation, mais je ne sais pas s’il y a une forme de commerce derrière. J’aurai dit ça, naviguer, bateau, c’est ce que je vois. J’ai l’impression que c’est quelqu’un qui essaie d’aligner ce qu’il voyait dans le ciel avec, en relation avec le ciel, la terre, la mer. Tu vois, des éléments comme ça. Aligner certaines choses. Il étudie comme s’il alignait certaines choses. Ciel, terre, mer. Je n’en sais pas plus.
F.B. : Ok. Ils utilisent quels outils pour permettre la réalisation de cette tablette ?
A.G. : Oui, c’est tout petit, c’est très fin. On voit un portrait effectivement. Est-ce que j’ai quelque chose par rapport à ça ? J’aurai dit empreinte retournée.
F.B. : Ok. Je note.
A.G. : J’ai l’impression que c’est une forme de moulage. Voilà, j’ai les mots « empreinte retournée » qui me viennent à l’instant.
F.B. : Tu n’arriverais pas à le voir…
A.G. : J’ai l’impression qu’il y a du sable, de la terre. J’ai l’impression qu’il y a un dessin qui est fait quelque part, et puis que, empreinte, retournée. C’est un peu tout ce que j’ai.
F.B. : D’accord. On pourrait dire un peu archaïque ?
A.G. : Oui, pour moi, c’est un peu archaïque. Parce que ça a l’air manuel, c’est fait maison.
F.B. : Tu peux essayer de passer une demi-journée avec lui, en accéléré, ou avoir des moments précis pour voir ce qu’il fait, ou c’est difficile pour toi ?
A.G. : Moi ce que j’ai, c’est qu’il est toujours reclus. Il est dans l’analyse, la découverte. C’est quelqu’un qui s’est déplacé pour faire ses découvertes. Il n’hésite pas à aller sur place. Il reçoit du monde, on lui demande de faire des analyses, hormis ces talents liés un peu à un don médiumnique. Il connaissait la nature humaine, et il y a encore quelque chose en relation avec le ciel, la terre et la mer. J’aurai dit que c’était quelqu’un, peut-être, pour résumé, qui essayait de mettre en avant, je pense, quelque chose qui était liée a une civilisation, quand même. J’ai l’impression qu’il essaie d’assembler certaines choses, au niveau de ses croquis.
F.B. : Tu dis ses croquis. Il en a fait plusieurs ?
A.G. : Oui, apparemment. Ses croquis. Après j’avais le mot qui m’est apparu. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai le mot « vase ». Il y a des choses, dessus. Je ne sais pas si c’est gravé sur un vase, mais une chose qu’on pourrait retrouver, qu’on a retrouvé comme un vase. Je ne sais pas, j’ai un vase. Là, les gens viennent le voir. Il prodigue, il conseille, il peut guérir, sûrement à cause de son côté un peu sensitif. Quelqu’un qui est respecté. Voilà, c’est ça, quelqu’un qui est respecté. J’ai l’impression qu’on vient le voir d’un peu partout, quand même. Tu vois, c’est quelqu’un qui est ancré. La vision que j’ai, c’est que c’est ancré tout en bas, au milieu de l’Europe, l’image du milieu de l’Europe, tout le monde vient le voir. C’est aussi simple que cela, c’est un peu l’image qu’on me donne. Pas de tous les continents, mais des gens qui viennent de quelques pays. Il est sollicité, mais dans le même temps, il a besoin de se reposer quand même. Il aime bien aussi être reclus, et après, il recommence un peu en se lançant dans une expédition, tu vois. J’ai le mot expédition qui sort, là. Il reprend alors ses expéditions, apparemment.
F.B. : D’accord. Il a fait plusieurs expéditions, et c’est toujours lié à ciel terre mer, c’est-à-dire qu’il peut faire des expéditions vers la mer ou non ?
A.G. : Alors le voir sur la mer, je n’en ai pas l’impression. J’ai l’impression qu’il guide des gens qui doivent aller sur la mer. Par contre, lui, j’ai une ligne comme ça, expédition, c’est un peu une ligne Espagne, sud de la France, Italie, c’est une ligne comme ça, méditerranéenne. Alors je ne sais pas si ça va plus loin que cela. Je ne vois pas la carte au-delà. Il y a quand même, quand je dis terre, c’est toujours en terre, mais j’ai l’impression que ce n’est pas parce qu’il est ermite dans sa caverne, il y a quand même des expéditions au-dessus ou à l’intérieur de montagnes, mais j’ai l’impression quand même qu’il rentre dans des souterrains.
F.B. : Quand il fait ses expéditions, on est bien d’accord ?
A.G. : Oui.
F.B. : Donc il va aussi dans des endroits qui se trouvent sous terre ?
A.G. : Oui. Et dans les airs, je ne sais pas, non, on me montre un peu comme une montgolfière. J’ai l’impression qu’il est en train d’observer du relief, terre, mer, le ciel, les étoiles, tout ça mélangé tu vois. C’est un peu quand même, c’est entre l’astronome un peu amateur, quelqu’un qui analyse les choses, et qui donne toujours de bons conseils.
F.B. : Est-ce qu’il vit parfois, ou dans sa vie, avec des gens, avec une population, avec des personnes ?
A.G. : Je n’ai pas l’impression, je le vois souvent seul. Ce n’est pas quelqu’un qui… J’ai l’impression que enfant, femme, ça ne me parle pas. Non, ça ne me parle pas. Par contre, de temps en temps, l’énergie d’une femme, le côté féminin qui n’est pas loin de lui. Mais je n’aurai pas dit que c’était sa femme, mais plutôt une assistante. Ça me montre quelqu’un qui est à côté de lui, une présence féminine. Je n’ai pas quelqu’un qui a une vie normale, une famille, tout ça. Non, je pense plutôt qu’il était dans un petit coin tranquille, pas loin d’un village. Voilà. Mais c’est quand même quelqu’un qui vivait seul pour moi.
F.B. : Ok. Est-ce que tu peux te rendre au dernier moment de sa vie ?
A.G. : J’ai juste le mot mémorial qui me vient. Il y a quand même quelque chose d’important qui doit être indiqué par rapport à son parcours de vie. Donc, comme un mémorial. A cette époque-là, j’ai cette image-là, parce que ça devait être important à ce moment-là, je pense. Alors voilà, famille, pas plus que ça. De toute façon, concernant le décès, j’ai l’impression de voir des gens qui le portent. Des gens qui le portent pour son enterrement, j’aurai rajouté. Un enterrement que je ne trouve pas classique, mais je vois quelqu’un qui le porte. Il y a du monde pour l’occasion, mais pas plus que ça.
F.B. : C’est sous quelle forme que se passe le déroulé de la cérémonie ? Est-ce un rituel ?
A.G. : Un rituel, pas forcément, mais je ne vois pas une forme de cercueil par exemple mais on porterait son corps. J’ai l’impression qu’en fait, c’est comme s’il y avait quatre personnes qui portent son corps, ou son cercueil, je ne vois pas trop. J’ai l’impression que la population, c’est vraiment, c’est assez en aparté. Tout se passe en petit comité, sans plus. Ça se fait dans un endroit, à minima dans un bâtiment, un lieu officiel on va dire. Comme quelque chose d’officiel. 4 personnes qui acheminent le corps. Bizarrement, j’ai l’impression qu’elles portent sur elles la même tunique que lui pourrait porter en fait. Ça a un peu la forme, entre guillemets, d’un habit de moine.
F.B. : Est-ce que tu peux me dire où a été retrouvée cette tablette à notre époque ? Dans quel endroit ?
A.G. : Alors bizarrement, j’aurai dit qu’il y aurait pu y avoir un lien avec l’Afrique. Il y a eu des choses entreprises sur ce lieu. Je me suis retrouvé sur un chantier de fouilles, alors forcément un peu archéologiques, et il y a plusieurs personnes qui travaillent. Ces gens sont en train de déterrer des choses, et au milieu de tout cela, on voit cette plaque. J’ai l’impression que c’est quand même assez poussiéreux, c’est pour ça que je parlais de l’Afrique. Mais j’ai l’impression qu’il a été retrouvé sur un terrain un sol avec du sable, quand même. Je vois la couleur ocre. C’est la couleur ocre, c’est sableux, mais il y a aussi un peu de pierre. Bon, ça fait un peu le cliché du terrain en archéologie, un peu comme ça, comme si on se retrouvait en Afrique du nord, tu vois. Quelque chose comme ça dans le décor.
F.B. : Un décor plus aride alors ?
A.G. : Oui c’est ce que j’ai quand même, avec du sable. Il y a du sable. Alors que lui, c’est vrai, je l’ai localisé davantage en forêt, voire à la montagne, mais là je me retrouve davantage dans un décor plus aride.
F.B. : Est-ce que tu penses que le climat a changé entre le lieu tel qu’il était avant et à l’époque actuelle ?
A.G. : On peut le dire comme ça, ça se pourrait bien que oui.
F.B. : Est-ce que tu peux me décrire le lieu où il se trouve actuellement, là aujourd’hui ?
A.G. : Tu me parles de la tablette ?
F.B. : Oui, de la tablette originale.
A.G. : Je demande à la voir aujourd’hui. J’aurai dit, je suis plutôt sur une forme… C’est cloîtré, derrière une vitre, dans un musée. Oui, le mot musée me vient. J’ai aussi le mot local, et musée à nouveau. Ou pourrait être encore cette tablette ? Il y a peut-être des choses la concernant, mais j’étais sur des choses comme un musée.
F.B. : D’accord. Là tu me parles du croquis ou de la véritable pierre ?
A.G. : Pas le croquis, la pierre elle-même. Toi tu voulais savoir où se trouve la pierre originale ?
F.B. : Oui oui. Est-ce cette pierre ?
A.G. : Ou se trouve la pierre originale ? J’avais le mot propriété, mais forcément, cela va sûrement de soi. Propriété. Il y a quand même cette notion d’un lieu différent. J’aurai dit qu’elle se trouve chez un particulier, dans une propriété. Elle serait sur le terrain d’une personne qui n’aurait rien à voir, je pense, avec le musée. Je pense qu’elle est chez quelqu’un, je pense que je suis sur une propriété privée, quelqu’un qui aurait découvert ça et qui, depuis, la garde. Quelque chose comme ça quoi.
F.B. : Cette propriété-là, par rapport au musée dont tu as parlé il y a deux trois minutes, où se trouve-t-elle ?
A.G. : J’ai l’impression que c’est éloigné, parce que là, en décrivant la propriété privée ou elle se trouve, je suis quand même, je suis dans de la verdure. J’entends le mot forêt, maison, bref, ce n’est pas du tout le même décor.
F.B. : Ok. Il y a une différence de lieu.
A.G. : Oui, il y a une différence.
F.B. : Tu pourrais m’apporter un indice par rapport à ce particulier qui la garderait ?
A.G. : Je ne sais pas si c’est le prénom, mais j’ai l’impression que ça pouvait être Pierre. Bon, je ne sais pas, Est-ce en liaison avec la pierre ? Ça pourrait être le prénom Pierre, quelque chose avec pierre dedans. J’ai l’impression de voir quelqu’un qui serait à la retraite. On me le montre grisonnant, avec plus trop de cheveux sur la tête et de ce qu’il en reste, ils sont gris En retraite, quelqu’un qui est bien tranquille dans sa maison, et qui a ça sur son terrain. L’impression de voir une maison, une maison avec un terrain derrière, pas très grand. Et la pierre, elle se trouve à l’arrière justement. Ce terrain, il est entouré de forêts, d’arbres, voilà, c’est ce que je vois. J’ai aussi l’impression que c’est lui qui a découvert cette pierre, ou en tout cas qu’il en sait quelque chose. Voilà. J’ai le P qui revient, comme Pierre.
F.B. : Donc elle se trouverait dans le jardin d’une propriété, à l’écart de sa maison principale, c’est ça ?
A.G. : Je le vois plus précisément en dessous du terrain, derrière oui. Elle ne serait pas dans la maison. C’est un peu une maison qui est carrée, et un terrain derrière qui fait un peu plus rectangulaire, et la pierre est sur le terrain, derrière la maison.
F.B. : Ok. Y a-t-il un lien avec la découverte proprement dite ?
A.G. : Non. Je pense que c’est un peu au hasard, comme s’il avait découvert ça par hasard sur son terrain. Soit quand il a acheté la maison, soit en la louant, je ne sais pas. Peut-être en l’achetant, car j’ai l’impression que c’est quelqu’un qui y habite depuis longtemps. Je ne sais pas, je te dis juste ce que je ressens, c’est comme s’il avait fait des travaux et qu’il a découvert quelque chose.
F.B. : Ok, très bien. Avant de terminer la session, aurais-tu des informations complémentaires sur l’homme dessiné sur la tablette ?
A.G. : Je vois si d’autres choses m’apparaissent… Je pense que c’est quelqu’un qui connaissait beaucoup de sujets, un peu d’astronomie, touchant un peu à la mécanique. C’est quelqu’un qui était doué dans un petit peu de domaines, oui. C’était une tête, on va dire ça comme ça, une tête et un guide en même temps.
F.B. : Quelqu’un qui a été important à l’époque où il a vécu, c’est ça ?
A.G. : Oui. Alors, néanmoins, j’ai l’impression qu’il est mort d’une maladie, comme la peste. J’ai l’impression qu’il est mort d’une maladie, d’un microbe, d’un truc comme ça. J’ai aussi comme 5-6 qui apparaît. 56. Est-ce que cela veut dire qu’il est mort à 56 ans ?
F.B. : Ok. Peut-on dire qu’il est âgé par rapport à l’époque ou pas ?
A.G. : Oui, voilà, c’est ça. Il a âgé pour l’époque, oui. Malgré qu’il ait sa barbe, on peut dire qu’il serait en meilleur état s’il vivait dans notre société aujourd’hui. Mais pour l’époque, c’était bien.
F.B. : Par rapport aux expéditions qu’il faisait régulièrement, par rapport à ce que tu m’as dit, quels étaient leur but ? Pourquoi partait-il dans un endroit ou un autre ?
A.G. : Bonne question. Alors laisse-moi un peu de temps, j’essaie de savoir. Alors quand tu me parles de cela, j’ai l’impression d’être dans le sud-ouest de la France, vers Biarritz, bref quelque part entre la France et l’Espagne. J’ai l’impression que ça pouvait être lié à… Je ne peux pas l’affirmer, mais il y avait une forme de commerce. Il y avait des gens qui venaient ici pour faire du commerce. On naviguait aussi pour… J’ai le mot découverte, mais là pour l’instant je n’en sais pas, on ne me parle plus. J’ai un pont sur une carte, c’est marrant comme si on me montrait un chemin, qui irait de Biarritz à Rome, comme ça. Je ne sais pas ce qu’il se passe. Voilà, il se passe des choses comme ça, entre le sud-ouest de la France ou le nord de l’Espagne d’un côté, et le nord de l’Italie de l’autre.
F.B. : Donc un déplacement de personnes entre ces zones-là ?
A.G. : Ouais, peut-être.
F.B. : C’est juste une question.
A.G. : Alors, je dirai oui, probablement. Il y a aussi des gens qui venaient de ces directions-là pour le rencontrer personnellement. J’ai le mot Méditerranée qui me vient. C’est vrai je n’ai pas la trame du pourquoi, mais ils venaient découvrir des choses. En pensant à ça, j’ai les mots « sas », « entrée », mais je n’en sais pas plus. Je ne sais pas. Sas, entrée. Sas, entrée. Il se peut qu’il serait, enfin, il y a des choses qu’il aurait écrit mais qu’il serait décédé avec un secret, par contre. Une forme de secret que personne ne sait, et qui se trouve dans ces écrits. Il y a toujours ce parchemin près de lui.
F.B. : L’as-tu déjà entendu parler ou peux-tu tendre l’oreille et l’écouter quand il était en vie ?
A.G. : « Je suis sur le point de découvrir ». Je l’entends penser cela.
F.B. : Mais sa voix, elle ressemble à quoi ? Je veux dire, les mots qui sortent de sa bouche ?
A.G. : Il ne parle pas devant beaucoup de monde, parce que c’est des gens qui viennent le voir. Ce n’est pas quelqu’un que je vois parler devant une foule. J’ai l’impression que c’est toujours en aparté, juste avec une personne, quelques-unes tout au plus, mais sans plus. La voix qu’il a ? Alors c’est étrange car je n’ai pas vraiment de son audible qui m’arrive.
F.B. : Ce n’est pas grave. C’est juste une question.
A.G. : Il pourrait sortir des phrases, mais non, je n’ai pas. C’est marrant, j’ai quand même quelqu’un qui essaie d’être discret, tout en diffusant de l’information, j’aurai tendance à dire. C’est cela, être discret tout en essayant de diffuser certaines informations.
F.B. : Très bien. Bon, ça fait pas mal de temps que tu es sur cette cible et que tu m’en parles, donc, on peut arrêter là. Tu en as dit déjà beaucoup c’est très gentil de ta part.
A.G. : Oui, c’est vrai. On ne se rend pas compte, mais c’est bien, car dans le lâcher prise, il y aura peut-être des choses en commun avec les autres médiums avec qui tu as fait cette expérience.
F.B. : Je te ferais un retour le moment venu. En tout cas, merci beaucoup pour ton aide.