Le rapport

Condensé sur plus de 300 pages, le rapport d’analyse comprend plusieurs chapitres.

  • Une analyse approfondie et personnalisée de chacune des 21 sessions réalisées par les intuitifs ;
  • La mise en avant des points communs et les différences entre les viewers ;
  • 2700 informations collectées et création de thèmes liés aux sujets entrevus ;
  • Les sessions dans leur intégralité, y compris les dessins réalisés, et les résumés.

Couverture du rapport qui a été imprimé pour en avoir une trace papier.

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Sommaire du rapport. Ce travail a nécessité de très nombreuses heures de travail. Il a permis de faire une étude pointue et qualitative des 2700 données intuitives apportées par chacun des dix viewers.


Étude statistique des informations intuitives collectées durant le projet Lussac, classées par intuitif et par thématique abordée.

Introduction

La présente enquête porte sur l’étude d’un objet façonné par l’homme.

La cible à décrire se présente sous la forme d’une fine tablette de pierre préhistorique, retrouvée dans les sédiments d’un abri sous roche, à Lussac-les-Chateaux, dans le département de la Vienne. La plaque gravée a été exécutée par notre ancêtre direct, l’homo sapiens, des milliers d’années avant notre ère.

Malgré les campagnes de fouilles archéologiques menées sur le site depuis la fin des années 30, et la publication de plusieurs rapports scientifiques, les découvertes réalisées à Lussac posent encore de nombreuses questions, restées sans réponses jusqu’ici. Bien que la science avance à grand pas ces dernières années (C14 amélioré, thermoluminescence, ou encore le nouveau procédé de datation basé sur l’uranium, et l’analyse affinée de l’ADN pour les squelettes), les préhistoriens ont conscience qu’il demeure encore beaucoup d’interrogations, et à ce titre, l’objet cible reste une énigme.

Le but de cette enquête est d’obtenir le maximum de renseignements sur cette gravure (images en page 4, 5 et 6). Il est proposé d’explorer tout ce qui touche directement à cette pierre, jusqu’à la vie quotidienne de ces hommes, femmes et enfants ayant vécu en ces temps ancestraux.

Pour réaliser cette entreprise, il a été fait appel à la vision à distance, appelée remote viewing (R.V) en anglais. Comme l’exige son protocole, élaboré dans les années 70 par deux physiciens américains et un expérimenteur (du nom de Ingo Swann), les participants à ce projet, appelés viewers, ont apporté intuitivement des informations en aveugle, sans connaître la cible, c’est-à-dire sans aucun élément préalable sur ledit objet.

Seuls deux éléments ont été portés à leur connaissance. Le premier représente une coordonnée, constituée d’une série de douze nombres, établi par le cibleur, dans ce cas, Fabrice, le responsable du projet. Le deuxième réside dans l’objet de leur recherche : la cible est un objet. Décrire cet objet.

Pour information, il faut savoir qu’aucun des intuitifs impliqués dans cette étude n’a de spécialisation dans le domaine de la préhistoire. Tous, moi-même y compris, participent bénévolement à cette aventure, car le remote viewing reste une passion, et non un métier.

Pour m’aider à hiérarchiser leurs informations obtenues, plusieurs thèmes ont été créés pour l’occasion :

  • l’environnement de la cible à trois moments clés de sa vie (la pierre elle-même, lorsqu’elle a été gravée, et le lieu où elle se situe ;
  • l’objet en lui-même, sa composition, sa fonction, jusqu’à ce qu’il est devenu à l’heure actuelle ;
  • enfin, tous les éléments concernant les individus qui l’ont eue en main, avant la gravure, pendant la gravure, et actuellement.

Réparti en deux phases, le projet a collecté près de 2 700 données, qui ont fait l’objet d’une analyse précise, aussi bien synthétique que détaillée.

Ces données sont à utiliser uniquement comme des compléments informatifs. Elles ne se substituent pas aux données référencées par l’archéologie.

Beaucoup d’informations valident les données géologiques et archéologiques existantes, approuvant ainsi les travaux des experts déjà portés à connaissance. Mais plusieurs centaines d’autres apportent de nouveaux éléments inédits et très intéressants, propices à la réflexion, pouvant susciter un intérêt certain dans la communauté scientifique.

Le projet Lussac a été lancé pour permettre d’évaluer la qualité des informations fournies, afin qu’elles soient évaluées par des experts sur la question.

Puisse ce travail apporter de nouvelles informations, afin qu’elles assoient une meilleure compréhension du mode de vie et de pensée de nos lointains ancêtres, ceux-là même qui ont vécu à Lussac-Les-Châteaux des millénaires avant notre ère.



Figure 1 : image originale de la pierre gravée, mesurant seulement quelques centimètres carrés. C’est cette image que les intuitifs ont eue pour débuter leur 2e session.

Figure 2 : pour information, croquis de la tablette originale

Figure 3 : Après analyse scientifique, voici le personnage principal qui ressort de la tablette, une fois expurgée de multiples traits supplémentaires.

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